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Libertés sur internet: la France soutient l'usage des VPN et du P2P

En France, l'utilisation de VPN (Réseau Privé Virtuel) est généralement légale et acceptée.

Les VPN sont couramment utilisés pour diverses raisons, notamment pour renforcer la sécurité en ligne, préserver la confidentialité, contourner la censure en ligne et accéder à du contenu géo-restreint. Ils sont largement utilisés par les entreprises, les particuliers et les organisations pour protéger leurs communications et leurs données en ligne.

En ce qui concerne le P2P (Peer-to-Peer), la situation est plus nuancée.

L'utilisation du P2P en soi n'est pas illégale en France. Le P2P est une technologie de partage de fichiers en pair à pair qui peut être utilisée pour le partage de fichiers légaux, tels que des logiciels open source, des fichiers de jeu, des vidéos libres de droits, et bien plus encore. Cependant, il est crucial de noter que le P2P peut également être utilisé pour le partage illégal de contenu protégé par des droits d'auteur, ce qui est illégal en France et dans de nombreuses autres juridictions.

La France, comme de nombreux autres pays, a mis en place des lois pour protéger les droits d'auteur et lutter contre le piratage en ligne. Des sanctions peuvent être prises contre les individus qui partagent illégalement du contenu protégé par des droits d'auteur, que ce soit via le P2P ou d'autres méthodes.

En résumé, l'utilisation de VPN est généralement légale en France, tandis que l'utilisation du P2P peut être légale ou illégale en fonction du type de contenu partagé. Il est important que les utilisateurs respectent les lois sur le droit d'auteur et utilisent le P2P de manière légale et éthique pour éviter des problèmes juridiques.

La France défend l'usage des VPN et... du Peer-to-Peer !




L'Arcep, l'Autorité de régulation  des communications électroniques et des postes, vient tout juste  d'acquérir un nouvel objectif : assurer et protéger la neutralité du  net, « principe devant garantir l'égalité de traitement de tous les flux  de données sur Internet ». Une neutralité du net qui a vu sa légitimité  renforcée à la fois par la publication d'un nouveau règlement européen,  et par celle de la « loi pour une République numérique » du quinquennat  Hollande.

Une bonne nouvelle pour les pirates


        

        
Tandis que l'Arcep vient  tout juste de publier son 1er bilan sur l'état de la neutralité du net,  et notamment sur les menaces qui pourraient peser contre elle, c'est une  bonne nouvelle qui est annoncée pour tous ceux qui se préoccupent de  préserver leur anonymat sur internet, mais aussi pour les pirates.

        
Car les premières décisions  prises par l'Arcep dans le cadre de cette nouvelle lutte ont été  d'annuler les blocages de services mis en place contre les VPN, le  Peer-to-peer, la VoIP et les newsgroups, par certains fournisseurs  d'accès à internet, désireux de « nettoyer » l'utilisation de leurs  serveurs pour des usages considérés comme controversés.
        

        
Autant de services qui,  s'ils font partie intégrante des procédés actuels de téléchargement,  servent aussi à garantir un anonymat plus ou moins complet aux  internautes, et ne peuvent être arbitrairement bloqués au titre d'une  présomption de culpabilité tant illégale que dangereuse.
        

        
Dans les DOM, ces derniers  mois, nous avons fait lever l'interdiction d'avoir recours à des VPN et  au peer to peer chez certains FAI » a notamment déclaré le président de  l'Autorité de régulation, qui, au terme d'une période programmée de 9  mois de dialogue auprès des acteurs d'Internet en France, pourra faire  valoir ses pouvoirs de coercition et de perquisition afin de sanctionner  les mauvais joueurs.

        

Et pour la vie privée

        

Même si l'Hadopi continue  toujours de pourchasser les pirates, l'état français entend donc, par le  biais de l'Arcep, et afin de se mettre en conformité avec la nouvelle  législation européenne, protéger les internautes des éventuelles mesures  expéditives mises en place par les FAI, dans le but de restreindre  l'utilisation de certains services pouvant contribuer au téléchargement  illégal par les internautes.
        

    
        
Cette avancée marque une  étape de plus dans le développement d'Internet, et dans la défense de sa  neutralité ; si les utilisateurs sont de plus en plus concernés par la  surveillance policière engagée par de nombreux états, surveillance qui  pose un grave problème sur la question du respect de la vie privée,  ceux-ci savent qu'ils pourront désormais compter sur un nouvel acteur,  entièrement préoccupé par la sauvegarde de leur anonymat, et de leur  droit à disposer d'eux-mêmes sur internet.
        

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